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Coline Moser

Comédienne, Metteur en scène, Direction d'acteur

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Les Petites Pierres

Les Petites Pierres

Dates à venir

Production Compagnie Les Euménides

Texte & Mise en scène - Coline Moser

Scénographie - Joséphine Sens

Costumes - Youna Vignault

 

Avec Teodora Acker (Flûte), David Brémaud, Fanny Lucet, Coline Moser, Claire Olier.

Simon vient d’être embauché en tant que jardinier-paysagiste par la municipalité pour l’entretien du parc. Au cours d’une de ses journées de travail, il découvre une boîte enterrée au milieu d’une plate-bande. Celle-ci est déjà bien rouillée et contient des lettres, des photographies anciennes, mais aussi des petites pierres de toutes sortes. C’est alors qu’il croise la route de Louise, une jeune vacancière en visite dans la région. Après une rencontre quelque peu tumultueuse, il ne peut s’empêcher de lui révéler sa récente découverte. Ensemble, ils décident de lire les premières lettres pour tenter de résoudre l’énigme de
ces petites pierres contenues dans la boîte. C’est alors qu’apparaissent Adèle et Rose, qui malgré leurs trente ans, semblent venir d’une époque désormais révolue. Qui sont-elles ? D’où viennent-elles ? Simon a l’impression de les connaître depuis longtemps... 

Le Rêve est une seconde vie

Le Rêve est une seconde vie

En cours de création

Production - Compagnie Les Euménides

Texte & Mise en scène - Coline Moser

Composition musicale - Téodora Acker & Nadia Bendjaballah

Scénographie & Masques - Joséphine Sens

Costumes - Youna Vignault

Avec Teodora Acker (Flûte), Nadia Bendjaballah (Percussions), David Brémaud et Fanny Lucet.

Au plus profond de la forêt, il est un oiseau extraordinaire dont le chant mystérieux ne ressemble à aucun autre. Il est « celui qui toujours meurt et qui toujours renaît », l’oiseau de feu, l’oiseau de paix.

Rares sont ceux qui ont eu la chance de le rencontrer.

Plus rares encore sont ceux qui ont eu la chance d’entendre le cœur de la forêt chanter et révéler son secret.   

À chaque saison qui passe, l'oiseau de feu sommeille et veille sur le cœur de la forêt, afin que celui-ci, toujours, continue de battre.

Je l’ai rencontré une fois, un jour de printemps, il y a bien des années de cela. J’étais avec elle, l’enfant aux cheveux d’or devenue plus tard la jeune femme aux pieds nus de lumière.  Nous courrions dans la forêt, et soudain il s’est dressé devant nous, l’oiseau de feu. Alors il s’est mis à parler, puis le cœur de la forêt s’est mis à chanter son secret, mais seule l’enfant aux cheveux d’or l’entendait…

« Car le mot, qu'on le sache, est un être vivant. »

Victor Hugo

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